Ça y est, on va commencer la pseudo école à la maison. Les enfants sont super contents, ils voulaient commencer dès samedi, mais j’ai dit hop, hop, hop, c’est le week-end 😅 ! Je ne sais pas qui d’eux ou moi est le plus ravi. Néné est déjà surexcité de « jouer à la maîtresse » 😂. Bon, j’ai quand même précisé qu’on allait « vraiment » travailler. Mais bon. Même pas peur.
D’ailleurs, en parlant de travail, les enseignants de notre école ont fait un super boulot, en nous donnant fiches, exercices, etc … Plutôt rapides et efficaces. Pour la maternelle, le corps enseignant n’avait pas encore pu se concerter, mais les instructions ne sauraient, elles sont dignes de confiance !
Et puis, j’ai fait ma petite curieuse en regardant Ma Classe à la maison du CNED … Oh la la ! Caverne d’Ali Baba, il ne faut pas me montrer ce genre de ressources, ça me donne envie de tout faire !!! 😅. Si vous n’y êtes pas encore allés, je conseille fortement, car il y a des carnets de bord, et tout est très clairement expliqué (selon moi), jour par jour, semaine par semaine … Bon, et comme je suis sympa (n’est-ce pas 😛), je vous partage également une sélection de ressources gracieusement mis à notre disposition pour assurer la fameuse continuité pédagogique :
le travail fourni par vos propres établissements. Je l’écris quand même, parce que c’est vraiment important de le mettre en priorité. Ce sont ceux qui sont le plus proches du parcours scolaire de nos enfants, et qui nous passent temporairement le témoin (est-ce que j’aurais envie de leur rendre après, c’est une autre histoire 😉)
Ca y est, un vent de panique souffle sur les familles françaises … C’est le casse-tête chinois pour s’organiser, garder les enfants, les faire travailler (désolés pour ceux qui croyaient être en vacances …), et en même temps, gérer son boulot, et le cours « normal » de sa vie. Bref. La vie quoi.
Je me sens privilégiée, moi, ainsi que ma famille, de pouvoir aborder les choses sereinement. Les circonstances de la vie ont fait que cette « pause forcée » tombe au moment où je suis justement à la maison pour me consacrer à mon foyer. Honnêtement, je suis même assez enthousiaste de passer ce temps privilégié avec mes enfants. Et puis, c’est un peu comme si mon rêve enfoui d’école à la maison se réalisait … (et la socialisation, me dit-on, mais bon).
C’est reparti pour les livres géants ! Super à regarder, mais pas pratique à transporter 😅 !
Pour cette fois-ci, on s’attaque (encore) aux dinosaures … Une longue histoire … (il n’y a qu’à regarder le pull de Néné 😛 !)
Illustrations très colorées comme on les aime. Un cherche et trouve accessible pour les tout-petits avec ses grosses images !
Description de l’éditeur
Six planches géantes pour découvrir, dès 18 mois, le monde fascinant des dinosaures ! 6 grandes scènes : Dans la plaine, dans la forêt, au-dessus des volcans, dans les marais, dans la mer, au musée
Plus de 100 dinosaures à découvrir !
Par Laure du Faÿ, une illustratrice au style affectif, en phase avec les petits.
Petite patrie de bataille, jeu de cartes très facile et accessible aux enfants. Pratique pour moi aussi qui dois garder un œil sur Boubou en même temps que je joue avec les grands …
Règles du jeu
On distribue les 52 cartes aux joueurs (peut se jouer à deux) qui les rassemblent en paquet devant eux. Chacun tire la carte du dessus de son paquet et la pose sur la table. Celui qui a la carte la plus forte ramasse les autres cartes. L’as est la plus forte carte, puis roi, dame, valet, 10, etc. Lorsque deux joueurs posent en même temps deux cartes de même valeur il y a « bataille ». Lorsqu’il y a « bataille » les joueurs tirent la carte suivante et la posent, face cachée, sur la carte précédente. Puis ils tirent une deuxième carte qu’ils posent cette fois-ci face découverte et c’est cette dernière qui départagera les joueurs. Le gagnant est celui qui remporte toutes les cartes.
Petit chant en préparation pour l’école de musique … 🤗
Il en faut peu pour être heureux Vraiment très peu pour être heureux Il faut se satisfaire du nécessaire Un peu d’eau fraîche et de verdure Que nous prodigue la nature Quelques rayons de miel et de soleil
Je dors d’ordinaire sous les frondaisons Et toute la jungle est ma maison Toutes les abeilles de la forêt Butinent pour moi dans les bosquets Et quand je retourne un gros caillou Je sais trouver des fourmis dessous Essaye c’est bon, c’est doux
Il en faut vraiment peu Très peu pour être heureux! (mais oui!) Pour être heureux
Il en faut peu pour être heureux Vraiment très peu pour être heureux Chassez de votre esprit tous vos soucis Prenez la vie du bon côté Riez, sautez, dansez, chantez Et vous serez un ours très bien léché!
Cueillir une banane, oui Ça se fait sans astuce (aïe!) Mais c’est tout un drame Si c’est un cactus Si vous chipez des fruits sans épines Ce n’est pas la peine de faire attention Mais si le fruit de vos rapines est tout plein d’épines c’est beaucoup moins bon! Alors petit, as-tu compris?
Il en faut vraiment peu Très peu, pour être heureux! Pour être heureux? Pour être heureux!
Ah, mon dieu, c’que c’est bon de vivre! Essaye, détends-toi Oui, rafraîchis-toi, mets-toi à l’aise Viens sur mon ventre Et laisse-moi te dire une chose, petit frère Si tu travaille comme cette abeille Eh, tu te rendras malade Ne gâche pas ton temps pour l’impossible Et si tu peux le trouver, alors tant mieux pour toi!
Et tu verras qu’tout est résolu Lorsque l’on se passe des choses superflues Alors tu ne t’en fais plus Il en faut vraiment peu, très peu, pour être heureux
Il en faut peu pour être heureux Vraiment très peu pour être heureux Chassez de votre esprit tous vos soucis, youpi! Prenez la vie du bon côté Riez, sautez, dansez, chantez Et vous serez un ours très bien léché! Ouais! Et vous serez un ours très bien léché, youpi!
Nous continuons la visite du studio de notre petit ado… euh, petit garçon, plutôt 😉, avec le coin lecture.
Néné a une autre approche des livres que Titi. Mais il aime tout autant. Je lui ai fait un petit coin lecture, encore à améliorer. Il était très content d’avoir son « canapé » 🙂. J’aimerais encore changer les housses que je trouve un peu vieillottes, et personnaliser le carton des livres, je ne sais pas encore comment.
Bref. Plein de projets que je n’ai jamais le temps de faire 😅 !
Néné aime beaucoup « cuisiner » ! Il a même ouvert un petit restaurant dans sa chambre dans lequel il aime inviter toute la famille. C’est vraiment trop mignon.
Au début, nous n’avions que quelques ustensiles de cuisines et aliments qu’on nous avait généreusement donnés. Puis, c’est à ce moment que nous avons découvert que Néné aimait beaucoup cela. De fil en aiguille, on a récupéré d’autres éléments. Et nous avons décidé de faire un petit investissement pour lui acheter une petite cuisine. Il est très content. Et c’est ainsi que j’ai aménagé un coin cuisine avec une table récupérée et personnalisée avec du papier adhésif, les petits tabourets de Madagascar (que Boubou aime toujours déplacer) .
Belle photo. Mais ne vous faites pas d’illusion, c’est resté rangé quelques minutes 😅 !
Dans notre quotidien, on a plutôt tendance à se focaliser sur nos problèmes et toutes les choses négatives qui nous entourent.
En tant que chrétienne, la Bible m’apprend à avoir une attitude de reconnaissance. La raison de vivre de l’être humain est d’adorer. Cela peut sembler un mot « obscur » pour certains d’entre nous. Mais dans la vie, on s’attache toujours à quelque chose, une sorte de leitmotiv, une cause qui nous tient à cœur et pour laquelle on se passionne. Les chrétiens adorent Dieu, en Jésus-Christ. Ce que nous faisons est comme un cadeau qu’on lui offre. Non pas pour obtenir sa faveur, car son pardon, sa grâce est gratuite, Il nous l’a donnée. Mais nous faisons tout, pour Dieu, par reconnaissance et conscients que Celui qui tient le monde dans ses mains sait aussi ce qu’il y a de mieux pour nous (mais Il ne force jamais personne).
Vivre dans une attitude de reconnaissance, c’est reconnaître que chaque geste de notre quotidien est un cadeau du ciel, et ne sert pas à « rien ». Nous ne sommes pas là, à subir les choses, mais nous entrons dans une dynamique intentionnelle qui change complètement notre perspective sur la vie. Par exemple, changer une couche ne présente aucun intérêt, aucune plus-value pour celui qui le fait. Et pourtant, prendre soin de ses enfants, par amour et sans se plaindre, fait partie de notre mission en tant que parents, et c’est quelque chose d’agréable à Dieu. Et à chaque fois que je choisis de plaire à Dieu, j’entre dans l’adoration. Ce n’est pas qu’une histoire de chant.
Tout ce que l’amour te pousse à faire est un acte d’adoration.
Je vous en parlais il y a quelques temps, Titi s’est pris de passion pour… la chimie ! Eh oui, après le grand livre des expériences, nous avons eu le plaisir de tester du nouveau matériel : erlenmeyer, tubes à essai, pipettes, agitateur, boîte de Pétri … Cette fois-ci avec plus de succès que la précédente, ce qui nous a franchement ravi.
Au programme, quelques petites expériences dont : – une goutte de liquide vaisselle qui chasse des couleurs dans une flaque de lait (j’avoue, celle-là n’était pas probante, mais c’est la 1ère qu’on a essayée ! – un verre rempli d’eau retourné sur un carton et qui ne se renverse pas : top, même pas besoin de tout l’attirail de chimiste – observer à la loupe la réaction de l’eau et l’huile avec du liquide vaisselle – le ballon qui se gonfle tout seul : un incontournable des petits chimistes, me semble-t-il – la flèche qui change de sens : 1er essai loupé, mais en essayant une 2ème fois, c’était franchement sympa – et un trombone retenu par un fil et attiré par un aimant, « expérience » qui a eu un succès fou auprès des garçons, sans doute grâce à cette « force invisible » qui permet au trombone de flotter en l’air
Petit livre qui nous change de nos précédents livres jeux : Qui est le coupable ? de Pascal Prévot. Ici, il s’agit de mener l’enquête pour trouver qui sème le trouble au château. A chaque page, une petite histoire et des indices qui permettent d’éliminer au fur et à mesure des personnages sur la 1ère page. J’aime bien le principe des petites fenêtres qu’on ferme. Par contre, Titi n’a pas encore tout saisi avec cette histoire d' »indices », on va sûrement le reparcourir ensemble !
Description de l’éditeur
Voici un livre d’un genre nouveau qui multiplie le plaisir de lire en l’associant à celui de l’enquête et du jeu. Au château Mordoré, chacun des 15 personnages est tour à tour victime d’un affreux forfait : deux moutons ont été attachés aux cloches de frère Anselme, un malotru a peint un gros cœur rouge sur la robe de la princesse, les précieuses roses du prince des ténèbres ont été coupées, on a volé la baguette magique de la fée, les 6 frères du nain ont été kidnappés… À l’enfant de chercher le coupable selon les indices physiques rapportés par les témoins et distillés dans l’histoire : le coupable avait les oreilles pointues, on a retrouvé un cheveu noir… À chaque indice, le lecteur « élimine » les personnages qui ne correspondent pas. Dans l’exemple donné, il écarte ceux qui n’ont pas les oreilles pointues et ceux dont les cheveux ou les poils ne sont pas noirs. Jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un seul personnage. Cette progression se fait très concrètement par un astucieux système de fenêtres à fermer sur la couverture qui reprend le principe du célèbre jeu « Qui est-ce ? » Pascal Prévot a réussi à combiner un principe interactif et ludique avec des histoires drôles et toniques qui se lisent indépendamment tout en étant liées par un fil rouge habilement déroulé au fil des pages.